Les anarchistes - villes rubéennes
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Les anarchistes - villes rubéennes
Les anarchistes sont un mouvement politique souterrain désorganisé des villes rubéennes.
Sur la base des rumeurs de l'existence dans le monde d'autres communautés, d'autres manières de vivre, les anarchistes cherchent à renverser l'ordre établi et à libérer le peuple.
La majorité d'entre eux sont des ouvriers, mais, ironiquement, les membres fondateurs et chefs penseurs sont en général eux-mêmes issus de proches du régime, qui bénéficient de plus de libertés et d'informations concernant l'extérieur. De cette manière, le mouvement reproduit involontairement la même hiérarchie que celle de la politique qu'il critique.
Les anarchistes sont en réalité de nombreuses petites cellules, qui ne dépassent jamais quelques dizaines de membres. Elles sont souvent familiales, et relativement paranoïaques dans l'acceptation de nouveaux membres, car les régimes Rubéens les traquent comme la peste.
La vision de l'extérieur que les cellules anarchistes ont est hautement idéalisée et très éloignée de la liberté. La plupart sont persuadés que le Ruban est beau et habitable, en contraste avec leur société difficile. Ce sentiment s'accompagne cependant d'une certaine peur de l'inconnue, qui explique aussi leurs nombres assez restreints.
Les anarchistes agissent comme ils le peuvent. La rhétorique pacifique n'est que de très peu d'effets et ses adeptes sont très rarement tus. Face à une société lobotomisée, et surtout sans contre-exemples, contre la parole des protecteurs et des responsables, les anarchistes semblent faire des promesses sans fondement au peuple effrayé. De ce fait, les actions des cellules sont souvent, à la place, violentes et subites : sabotages, attentats et assassinats causés par le désespoir et la frustration de ne pas pouvoir se faire entendre autrement.
Les anarchistes pensent encore que des rivières coulent à l'extérieur, que les peuples s'organisent en démocratie, et que les enfants sont nombreux et sains. Ils se racontent des histoires fantastiques pour se galvaniser, et développent, en privé, une mythologie très riche – et très inexacte. Cette mythologie est partiellement issue de rumeurs, et en majorité de l'imagination des anarchistes, en grand manque d'activité cérébrale dans la vie quotidienne. La frustration de ne pas pouvoir atteindre ce monde fantasmé se traduit souvent en extrémisme, bien qu'il existe de nombreux anarchistes plus modérés, les jeunes perdent facilement leurs idéaux pacifiques en réalisant l'impossibilité de leur application.
Sur la base des rumeurs de l'existence dans le monde d'autres communautés, d'autres manières de vivre, les anarchistes cherchent à renverser l'ordre établi et à libérer le peuple.
La majorité d'entre eux sont des ouvriers, mais, ironiquement, les membres fondateurs et chefs penseurs sont en général eux-mêmes issus de proches du régime, qui bénéficient de plus de libertés et d'informations concernant l'extérieur. De cette manière, le mouvement reproduit involontairement la même hiérarchie que celle de la politique qu'il critique.
Les anarchistes sont en réalité de nombreuses petites cellules, qui ne dépassent jamais quelques dizaines de membres. Elles sont souvent familiales, et relativement paranoïaques dans l'acceptation de nouveaux membres, car les régimes Rubéens les traquent comme la peste.
La vision de l'extérieur que les cellules anarchistes ont est hautement idéalisée et très éloignée de la liberté. La plupart sont persuadés que le Ruban est beau et habitable, en contraste avec leur société difficile. Ce sentiment s'accompagne cependant d'une certaine peur de l'inconnue, qui explique aussi leurs nombres assez restreints.
Les anarchistes agissent comme ils le peuvent. La rhétorique pacifique n'est que de très peu d'effets et ses adeptes sont très rarement tus. Face à une société lobotomisée, et surtout sans contre-exemples, contre la parole des protecteurs et des responsables, les anarchistes semblent faire des promesses sans fondement au peuple effrayé. De ce fait, les actions des cellules sont souvent, à la place, violentes et subites : sabotages, attentats et assassinats causés par le désespoir et la frustration de ne pas pouvoir se faire entendre autrement.
Les anarchistes pensent encore que des rivières coulent à l'extérieur, que les peuples s'organisent en démocratie, et que les enfants sont nombreux et sains. Ils se racontent des histoires fantastiques pour se galvaniser, et développent, en privé, une mythologie très riche – et très inexacte. Cette mythologie est partiellement issue de rumeurs, et en majorité de l'imagination des anarchistes, en grand manque d'activité cérébrale dans la vie quotidienne. La frustration de ne pas pouvoir atteindre ce monde fantasmé se traduit souvent en extrémisme, bien qu'il existe de nombreux anarchistes plus modérés, les jeunes perdent facilement leurs idéaux pacifiques en réalisant l'impossibilité de leur application.
Viviane- Messages : 16
Date d'inscription : 21/12/2015
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